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S**D
The Alexandra Quartet.
This was ordered by my sister so cannot give a review. According to friends it's a super book.
C**S
Magnificent
Read this book for the first time when I was 18. Reread it for the 3rd time! Each time I read it I find new treasures of insight into the human psyche.
R**R
Unique 20th Century Masterpiece.
Tetralogy constructed on Einsteinian principles with first three novels giving three spatial dimensions of the story & the fourth novel the time dimension. Exquisite use of similes & metaphors.
L**L
Une mer sans fin...
Quelques réserves sur l'édition: une préface hasardeuse, et presque dilettante; une impression minuscule, mais inévitable au vu de la volonté d'ailleurs louable de publier ensemble les quatre "tomes" du Quartet. Les notes sont très utiles, notamment les extraits des carnets de Durrell, fascinants, quoiqu'à trop dévoiler le cheminement de l'auteur ils risquent, comme toujours, de dévaluer l'objet fini en révélant sa structure interne. Dernière remarque sur l'édition: un système de notes groupées en fin de volume serait beaucoup plus pratique que la stratégie adoptée ici, de mettre à la fin de chacun des quatre tomes les notes afférentes.Sur le fond, que dire... Il faut s'attendre à griffonner sur chaque page de ce malheureux bouquin; à recevoir des claques qu'on oublie aussitôt. Alors, bien sûr, les penchants de Durrell sont un peu "faciles". De l'exceptionnel à foison, du baroque jusqu'à plus soif; d'interminables rondes introspectives, d'inlassables tentatives d'approcher les objets de l'intrigue (les protagonistes, les sentiments, l'enchaînement des circonstances) par tous les côtés possibles et imaginables - mais ceux qui seront amenés à lire ce livre auront, d'une façon ou d'une autre, un goût déjà fait pour ce genre de choses. Quel qu'en soit son objet - Alexandrie, Justine, l'égo du narrateur-, ce livre vise surtout à prouver que, dans la réalité véritable qu'il revient à un auteur de savoir approcher, les angles d'attaque sont infinis, et tous valables chacun à leur façon.Aussi, ce penchant un peu trop "facile" qui dérive vite en onanisme abstrait, en une jungle invivable de ruminations, Durrell l'emprunte avec une ampleur, une impudeur, une effronterie et une vanité telles que le résultat n'est pas autre chose qu'une démonstration. Même les maladresses y contribuent. Ce livre est une mer sans fin dont l'objet premier est d'affirmer qu'elle peut exister, être publiée, sans avoir besoin, justement, de fin.
J**N
Words words words Some of them wonderful
I'm immersed in the first book, Justine, and feel as if I'm drowning. It's remotely pleasant, delightfully overwritten and so very self-indulgent - both in the case of the writer and the reader too. If it doesn't add several layers to your vocabulary you're not paying attention.
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1 month ago
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