Havre DES Morts

j'ai attribué sans hésiter la note maximale à ce dernier ouvrage de Cornwell, tout en remarquant, avec surprise, qu'une majorité des autres commentateurs avait exprimé une opinion contraire. Loin de moi ("raisonnablement" loin, quand même...l'intention de les blâmer, mais j'ai cherché si leurs critiques me semblaient fondées. Et je constate que les raisons de leur "déception" relèvent non pas tant de l'ouvrage lui-même, mais bien plutôt des qualités propres à cet ouvrage, qualités auxquelles ces commentateurs ne sont pas habitués...En fait, s' il s'agit bien d'un "roman policier" au sens habituel du terme, il est traité avec des moyens très supérieurs à "l'habitude". Je m'explique. On reproche à Cornwell d'avoir consacré (inutilement, selon les "mécontents") trop de développements à la psychologie des personnages, et aux évolutions de cette psychologie. On lui reproche également d'avoir trop développé les explications techniques et scientifiques. Ces deux reproches sont compréhensibles de la part des lecteurs "lambda", qui se contentent de ce que j'appellerais des "romans de gare", qui se lisent sans effort au cours d'un court trajet, pour s'oublier ensuite. Les romans de Cornwell se situent à un tout autre niveau, et il ne serait pas inopportun que leur Editeur s'en préoccupe. Ils ne s'adressent pas au même public. D'où cette diversité d'opinions. On ne lit pas Balzac comme les auteurs à la mode de "thrillers", dont le nom sera oublié l'année prochaine...Ils auront "passé comme le café"...Il en est de même pour ce qui est des développements scientifiques, qui ont le mérite, chez Cornwell, d'être exacts, au contraire de certains romans pseudo-scientifiques qui ne sont que d'aimables salmigondis de fausses théories fumeuses...Mais, là, le problème vient, non pas tant des auteurs que du niveau de connaissances des lecteurs, qui, par simple ignorance, sont prêts à gober n'importe quelle histoire, dès lors qu'il se figurent la comprendre. Prenez une comparaison savoureuse : personne, je dis bien PERSONNE, ne peut savoir ce que signifie l'expression "oméga 3", à moins avoir atteint un niveau élevé en Chimie. Et pourtant tout le monde y croit (à quoi, d'ailleurs ?). Les développements de Cornwell sur les nanotechnologies et leurs applications en biologie sont réellement passionnants, mais ils ne peuvent intéresser personne, sauf une infime minorité (une élite diront certains...). Là aussi, on est dans un ouvrage différent des "romans de gare"...Donc, conclusion : Avis à l'Editeur: publiez Cornwell dans une rubrique différente, (éventuellement nouvelle) de celle des thrillers policiers !!!

Ce live se lit rapidement et on a très vite envie d'avoir le reste de la saga.L'auteur nous plonge réellement dans l'histoire et on a l'impression d'y prendre part!Parfait pour la lecture en transport ou pendant la pause déjeuner ou pour se détendre.PS: Il est arrivé en très bon état, merci Amazon.

J aime beaucoup les romans de Patricia Cornwell

Ok je destete la personnalité de Lucy. Ok le roman est hyper pointu parfois on a l'impression d'étudier des programmes du FBI. Ok l'histoire entre Marino et Kay est un peu soûlant mais mais mais cela nous apprend pas mal chose, et la fin du roman nous délivre enfin d'une énigme longue de plusieurs romans.....Quevadonc pondre Patricia dans le futur de Kay je suis assez curieuse.Il faut s'accrocher, relire parfois plusieurs passages mais l'auteure ne laisse pas ses lecteurs dans l'a-peut- prêtDonc pas si mal malgré les'ombreuses critiques des lecteurs. Je suis curieuse de lire le prochain roman et puis Ben si c'est mort c'est mort

Très bien